Et si Jésus nous posait personnellement les questions qu’il pose lui-même dans la Bible ? À Marie-Madeleine, à l’ apôtre Pierre, ou au paralytique ? Et si, finalement, Jésus était le meilleur intervieweur de tous les temps ? On a fait le test sur Pascal Obispo.
POUR TOI QUI SUIS-JE ? Quelqu’un qui se bat contre les injustices !
EST-CE QUE QUELQU’UN T’A CONDAMNÉ ? Ah, n’étant pas Marie-Madeleine, j’aurais du mal à répondre à cette question. On est tous jugés. Si cette question ça veut dire “Comment faire fi des mauvaises critiques ?”, alors je dirais que je passe au-dessus, en-dessous, ou sur le côté (rires). Je sais que je ne suis ni mieux ni pire qu’un autre.
VEUX-TU ÊTRE GUÉRI ? Moi, par chance, je ne suis pas malade. Jésus, occupe-toi de ceux qui en ont besoin !
M’AIMES-TU ? J’aime les gens qui font du bien, donc si tu es quelqu’un qui fait du bien, oui.
POURQUOI AS-TU DOUTÉ ? Parce que quand on avance, quand on construit quelque chose, on doute forcément. En tant qu’artiste, il m’arrive de douter du chemin que je prends. Le doute fait même partie du chemin, non ?
POURQUOI M’AS-TU ABANDONNÉ ? Ah, j’ai trop de pudeur pour répondre à cette question. Cela dit, je dérive un peu, mais cette question me fait penser à une phrase que j’ai trouvée dans le journal hier, je l’ai marquée quelque part [il cherche dans son téléphone]. La voilà : “L’individualisme, c’est quand chacun trouve le salaud à sa porte”.